Les originesdu beurre de karité
La légende de Nefertiti et l’arbre sacré
Le beurre de Karité s’utilise en Afrique depuis des millénaires. La légende raconte que la reine d’Egypte Nefertiti devait son incroyable beauté à une crème utilisée par certaines ethnies d’Afrique Noire, pour préserver la jeunesse de sa peau. Plusieurs siècles plus tard, certains grands voyageurs reviendront avec cet extraordinaire baume, appelé «beurre de karité».
Depuis toujours l’arbre de karité pousse à l’état sauvage, sans pesticides, ni fertilisants, dans les savanes arborées d’Afrique Occidentale. Ses fruits, tels de petits avocats, contiennent une noix de laquelle est extraite une amande charnue. Elle est séchée, concassée, affinée entre deux pierres et malaxée. Le résultat donne un baume précieux, le beurre de karité.
Histoire
Ndiémé Ndiaye, Reine d’Afrique
Ndiémé Ndiaye, descendante directe du premier roi du djoloff Birame, et fondatrice de la marque Karitédiema, va découvrir l’étendue des bienfaits des principes actifs du beurre de Karité, suite à des allergies. Convaincue de la singularité du produit, Ndiémé Ndiaye se lance dans une recherche minutieuse, qui aboutira à la création de produits cosmétiques à base de Karité. Ainsi naîtra la gamme Karitédiema en 1996. D’usage ancestral, l’extrait de Karité est devenu courant et incontournable parmi les matières premières utilisées par les laboratoires modernes.
Le beurre de karitécertifié BIO
les nombreuses propriétés du beurre de karité (désinfectantes, cicatrisantes, protectrices et revitalisantes) conviennent particulièrement aux soins de la peau, des cheveux et des ongles.
Le beurre de karité Karitédiema, pressé à froid, préserve toutes ses précieuses propriétés, ainsi que les vitamines A, B, E, F, sans oublier sa très forte teneur en insaponifiables (12% – 18%) indispensables à l’hydratation des couches superficielles de l’épiderme.
La marque karitédiema a été récompensée au Salon International des Inventions de Genève en 1996 et 1998, au Salon de Séoul en 2002 (médaille d’or) et au Prix de l’Union Européenne à Berlin en 2007.